vendredi 21 octobre 2011

Vivre dans les vallées phrygiennes

Des villages tellement pauvres, loin de tout... En hiver, la vie doit être particulièrement dure. Et pourtant, les gens sont aimables et souriants, me font des signes, essaient de me parler. Villages essentiellement agricoles, on cultive entre les rochers. Beaucoup de tracteurs pour les transports, mais dans les champs, on travaille à la main, y compris les femmes. Troupeaux de moutons, de chèvres, de vaches. Beaucoup de sites phrygiens ne sont accessibles que par des chemins de terre: j'ai renoncé à les voir. Pas que j'aie peur de marcher, ni des gens, seulement (et c'est justifié) des chiens !! Pas des chiens ordinaires, qui sont innombrables, paisibles et indifférents, mais des chiens de garde, des molosses avec un collier garni de clous. Ces chiens sont d'ailleurs connus et la terreur des trekkeurs en Turquie. J'en ai rencontré quatre - heureusement j'étais en voiture. Ils sont toujours en liberté, souvent sans maître.



Malheureusement, les site principal, dit "la tombe de Midas" (mais c'est sans doute faux) est fermé pour "restauration"... (photo avec échafaudages) Je suppose qu'on tente de rendre l'endroit plus accessible aux touristes par l'adjonction d'un bel escalier.

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